| | | par Francois Branchon le 09/04/2000
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| Album tout en puissance de Tommy Castro et sa grasse guitare, son rock'n'soul calibré et sans retenue. Même si ses solos de guitare sont archi-prévisibles, le but n'est pas de surprendre mais d'assurer une heure et demie sur scène avec un gros son et une rythmique carrée. Les six cordes brodent à qui mieux mieux, parfois bavardent un peu trop, mais avec quelques pintes de bières dans le nez, ça devrait passer ! Deux reprises au programme, "Can't you see what you're doing to me" d'Albert King fort honorable et un "Sex machine" de James Brown malheureusement bien au-dessus des possibilités du bonhomme, qui s'y étale en beauté (on ne s'attaque pas impunément à un monument de cette hauteur). Mais bon, on va pas lui en vouloir pour ça...
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