L'Anglais se noie dans ses peines de cœur... En réalité "Black friday" ne sonne pas aussi peu produit que Tom Odell le prétend. Ses ballades folk-pop exhalent un pathos très soigneusement mis en scène et en musique, petits morceaux jamais plus longs que deux
minutes, miniatures
habilement célestes ("Spinning", "The end of the summer"...). Il s'y épanche, y souffre
énormément d'amour, exhale une tristesse infinie et ce qui devait arriver arrive : les cordes frémissent, l'orchestre décolle. Qui peut résister n'est-ce pas ?