| | | par Francois Branchon le 09/04/2000
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| Le livret ressemble à un dépliant d'agence de voyage et la musique, savant mélange de thèmes berbères, arabes et celtes (on croise le Bagad Kemper, la Kabylie, Dakar, la Corse, l'Andalousie, ils ont juste oublié les Maures et les Cévenols !) sent son opération marketing opportuniste, comme il en pullule, qui hélas de temps en temps fonctionnent (voir les "produits" type "Mozart l'africain"). Ici tout est séduisant, bien fait, calibré pour accrocher dès la première note, mais sent l'appât à plein nez. Pauvres musiciens qui acceptent de brader leur musique et de se brader eux-mêmes, succombant aux cornemuses de la mode. |
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