| | | par Francois Branchon le 04/09/1999
| Morceaux qui Tuent Ananamin
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| Salif Keita n'a jamais pu renouveler le "miracle" de son premier album "Soro", un album qui non seulement était un mariage parfaitement réussi entre le son occidental et la tradition mandingue, mais qui, habité d'un véritable souffle, marquait l'histoire de la musique africaine d'une pierre blanche. Ici, il ne s'en approche jamais, et si la voix est toujours aussi fantastique et s'il y a de superbes mélodies ("Sada", "Ananamin"...), la production l'a encombrée de batterie rock déplacée, d'une guest-appearance de Grace Jones (?), d'un programming envahissant. |
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