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par Francois Branchon le 03/02/2001
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Les vingt-cinq ans qui séparent "Pulse" du premier double live "Ummagumma" permettent de mesurer le chemin parcouru par le Floyd. La valeur ajoutée n'est que technologique. Sans surprise. Les morceaux présents sur les deux disques, tel "Astronomy domine", l'illustrent bien tristement. Il se dégage malgré tout une énergie efficace de ces concerts, à l'image d'un "Dark side of the moon" enlevé, défilant en entier, et qui laisse voir un David Gilmour assez bluffant de savoir faire. |