| | | par Francois Branchon le 01/04/1998
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| Combien d'albums au compteur Otis Clay ? En voici un nouveau, pour lequel on aura, comme à l'habitude, recours à des comparaisons minorantes : bien que doté d'une voix puissante et modulée, Otis Clay reste moins sensuel qu'Otis Redding, moins pêchu que Wilson Pickett, moins langoureux que Marvin Gaye, moins fondant que les Delfonics. Heureusement qu'il y a toujours un ou deux titres pour sauver l'album de l'anonymat : cette fois, l'enlevé "When hearts grow cold" et "Standing in the rain", traversé par les lumineuses lames de guitare de Preston Shannon. |
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