| | | par Francois Branchon le 09/04/2000
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| Standard et convenu, sans surprise... on s'ennuie ferme devant cette panne d'idées. L'harmonica est un instrument difficile à rendre singulier et surprenant (n'est pas John Mayall dans "Room to move" qui veut). Un album qui s'oublie vite, mis à part "L'avenir à venir", une ballade westernisante où l'harmonica s'invente enfin une place originale devant une guitare gentiment slide et "I'm in love", le morceau de bravoure lent de rigueur, qui met malheureusement trop en évidence le chant un peu trop juste de Nico Wayne Toussaint. |
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