| | | par Raoul Fulgurex le 28/11/1999
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| Un album de voyageur, dans les instruments d'abord, puisque Mino Cinelu en dehors du sien propre (lettres de noblesse : percussionniste de Miles Davis) joue de la guitare, de la batterie, des claviers et chante, plutôt pas mal même, dans les influences ensuite, car si le jazz reste la trame de base, il se colore tout au long de ce voyage de touches antillaises, orientales (luth turc), asiatiques, sud-américaines (bandonéon), créole et même blues. La production (une manie de Mino) frôle une perfection déjà croisée cette année dans l'album de Richard Bona (invité ici), mais elle n'occulte jamais la raison d'exister de ce disque : prendre par la main pour partager l'émotion d'un voyage intérieur. |
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