| | | par Francois Branchon le 04/09/1999
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| Qu'il soit avec Soft Cell, ses Mambas ou en exercice solitaire, le volontiers crade Marc Almond a toujours su manier la déliquescence et magnifier le culte des bas-fonds avec un délice communicatif. Pour son retour, l'égérie de Pierre et Gilles (dernière créneau marketing officiel) ne perturbera guère le bourgeois UDF de base : son venin est bien inoffensif, une perversité qui n'est plus que de façade et l'on cherche en vain des hymnes aussi forts et excitants que furent autrefois le masturbatoire "Mother fist" ou le sensuel et fondant "The boy who came back". |
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