| | | par Francois Branchon le 01/02/1998
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| Lancinante et chaloupée, la musique mandingue de Malamine, bercée par la kora de Lamine Soumano, doit surtout son caractère à la voix d'Aminata Kamissoko, filet mince et fragile, enveloppant, mais qui sait aussi être parfois littéralement transperçant. L'absence de percussions "vivantes", remplacées par une batterie électronique, ne se laisse heureusement guère remarquer, tant la production, réalisée entre Bamako et Londres (Brixton) est dépouillée et discrète. |
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