| | | par Francois Branchon le 01/06/1997
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| Un album à l'image de son nouvel aspect post lifting : ultra-banal ! Avec ses morceaux de faux jazz, pseudo chics, résumés dans une agaçante manière de chanter que l'on ne doit plus guère entendre que dans les bals, encombrés de "danséé-i-yéé", de "sourir-aaah!", de "mourir-aaah!" et de "oyéé-i-yéé" tous aussi exaspérants les uns que les autres. Un vrai mal de mer. |
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