| | | par Francois Branchon le 07/11/2001
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| La fin de carrière de Julie London, sans être négligeable, reste très en deçà des merveilles enregistrées dans les années cinquante. La décennie "soixante" la voit à l'instar de nombre de chanteuses intimistes courir après un répertoire pour tenter de sauver quelques meubles de la déferlante pop (sur les ondes et chez les disquaires).
Pas étonnant donc de trouver au milieu des "The more i see you" ou "Summertime" de belle facture (encore que la voix se soit un peu brisée depuis "Cry me a river"), des reprises de "Can't get used to loving you" (chantée alors par Elvis Presley), "Hello Dolly" (la comédie musicale alors en vogue) ou un "Light my fire" des Doors en samba (reprise en 1969, à la toute fin de carrière).
La voix reste grande, mais l'ambiance est différente, loin de la magie immaculée des débuts. |
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