| | | par Francois Branchon le 19/09/1999
| Morceaux qui Tuent The white trash period of my life
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| Premier album d'un tout jeune compositeur américain, sur les traces évidentes de Ron Sexsmith, mais sur un ton un peu plus frais. La production, sans prétention, est l'uvre de David Henry, qui fit ses classes avec les Cow-boy Junkies. Il en a gardé le sens de la nonchalance attentive : rien n'est important, ni urgent, mais rien n'est superflu ni là par hasard. Le plus souvent mélancoliques, les chansons de Josh sont accompagnées de sa guitare acoustique : viennent s'y ajouter une batterie balayée, une basse discrète et de petits arrangements de violon, de violoncelle et d'orgue. On y entend même une guitare électrique qui rappelle celle de Neil Young dans "Running dry", la poignante ballade de l'album "Everybody knows this is nowhere". Un album qui réclame plusieurs écoutes, puis qui coule de source. |
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