Last night dream

Johnny Shines

par Francois Branchon le 07/10/1999

Note: 8.0    

1969, année érotique mais aussi année en or pour Mike Vernon, l'homme par qui le blues anglais vit le jour : cette année-là, les grands albums de Fleetwood Mac, Chicken Shack et Christine Perfect voient le jour, et il réalise son vieux rêve de faire entrer en studio quelques uns des vieux bluesmen noirs noirs américains, ses idoles. Grâce à Willie Dixon, qui tiendra la basse dans la session, il réussit à convaincre Johnny Shine, ami de Robert Johnson. Otis Spann est au piano, pour un 'chicago blues' acoustique et intimiste.