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par Francois Branchon le 01/02/1998
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Morceaux qui Tuent Nestor's saga
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Le très beau "Nestor's saga" qui ouvre cette réédition de 1981, est le bon côté de John Surman : une méticuleuse exploration des sons de ses deux instruments (sax soprano et clarinette basse), sur une trame répétitive à la Philip Glass et pleine de ces harmonies communes à tous les souffleurs mélancoliques, Jack DeJohnette venant apporter de savants et discrets contrepoints de batterie. Le reste n'atteint pas toujours cette hauteur. |