| | | par Francois Branchon le 01/08/1997
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| Une improvisation live, Joachim Kühn rendant l'invitation qu'Ornette Coleman lui avait faite quelque temps auparavant sur une scène de Verone. Comme toujours avec Coleman, le possible chaos tourne au sublime ! Et lui qui prétend toujours ne pas jouer de jazz, signe des pages lumineuses et quasi éternelles (la montée en extase de "Story writing" ou "Passion cultures", la sérénité de "Night plans" ! ). L'immense avantage d'Ornette est que TOUTE sa musique vient du coeur et des tripes, organe et accessoires dont ne semblent pas être pourvus la plupart des jeunes lames arrivistes du jazz digital...
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