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par Francois Branchon le 19/09/1999
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Morceaux qui Tuent The biggest lie Needle in the hay
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Tout premier album, magnifique, sobre et acoustique, uvre noire, presque dépressive, dont toutes les chansons traitent de la dépendance : à un être ("Clementine"), à un lieu ("Alphabet town"), ou à la pire de toutes, l'héro, dans "Needle in the hay", splendide conte halluciné sur un junky en recherche de fix. On y trouve aussi "The biggest lie", la plus belle de ses ballades. |