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par Francois Branchon le 04/02/2001
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Morceaux qui Tuent Juliet
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Ce troisième volume des rééditions Dick Rivers après la fin des Chats Sauvages (lire l'historique dans la chronique de "Baby John") ne décolle quasiment jamais, empêtré dans des adaptations de rock'n'roll ratées ("What i'd say", "Twist and shout", "Not fade away", "Stop, look and listen"...) et des ballades ampoulées ("Oublie-le", "Maintenant tu veux partir", "Plus jamais"...). Sa version de "I saw her standing there" ("Quand je l'ai vue devant moi") des Beatles vaut bien celle de Hallyday mais "I'll never walk alone" ("Rien que toi") fut grillée par celle (bien meilleure) de Richard Anthony, et seule "Juliet", reprise du hit des Four Pennies de 1964 est une franche réussite. Les quatre bonus inédits (en anglais, italien et espagnol) ne rattrappent pas un répertoire essouflé, qu'il est temps de perfuser avec un peu de pop anglo-saxonne. |