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par Francois Branchon le 01/02/1998
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Morceaux qui Tuent
Attila Josefz
Les tchèques
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Vient-il de trouver la synthèse parfaite entre la perfection minimale d'un Brassens et la folie douce et décalée d'un Pascal Comelade ? Voici donc "Les tchèques" pour l'attester ! Mais Dick Annegarn a aussi appris à projeter la tristesse en pleine poire et laisser l'auditeur au bord des larmes, pantelant... C'est l'effet "Attila Joszef", une des chansons les plus belles et poignantes jamais écrites en langue française, à ranger immédiatement sur la même étagère que "Ptite sœur" de Karim Kacel ou "La route de terre" de Manset. Un album chaleureux et précieux.
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