| | | par Francois Branchon le 01/04/1998
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| A la lecture du cv du bonhomme (compositions pour le centre Pompidou, élaboration de musiques de danses pour compagnies contemporaines, co-fondateur de groupes de recherche) et des intentions affichées pour ce disque (la biographie comparée de Jorian Murgrave du singulier Antoine Volodine lui a servi de "guide"), on craint la prise de tête délire intello-hermétique, nécessitant le port permanent en bandoulière du dictionnaire de codes ! Pas tant que cela en réalité. La musique de Frajerman, même si elle plus complexe que celle de Céline Dion, est parfaitement abordable et comporte des moments séduisants, voire amusants. Et après tout, un homme qui intitulait ses précédentes uvres "Trash et artères", "Extrême ponction" ou "Le disque dur" ne doit pas être totalement mauvais ! |
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