| | | par Francois Branchon le 01/02/1998
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| Avec sa voix un peu plaintive et sa guitare acoustique solitaire, aux arpèges simples et limpides, Boubacar Traore est à la musique malienne ce que Mississippi John Hurt est au blues : un maître es-ballades, tristes le plus souvent ! On ne commentera pas plus, préférant s'asseoir et écouter, écouter encore et partager la douleur qui lentement affleure... |
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