| | | par Francois Branchon le 23/03/2000
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| Une vieille complicité lie le pianiste à la mode (en 1999) Bill Carrothers avec le batteur Bill Stewart, bonne raison de s'intéresser à cet enregistrement qui les réunit, seuls. Au delà de la qualité d'interprétation (sans reproche possible), du choix du répertoire, variant compos personnelles originales et subtiles ("Vito") et reprises de standards, pas des plus connus en l'occurrence ("A nightingale sang in Berkley square"...). Un album qui vaut pour la manière dont ces deux-là s'entendent pour construire leur univers (on les connaît aussi par ailleurs en trio avec le bassiste Scott Colley). Quant à savoir s'il s'agit d'académisme pur ou de sensibilité entre les touches, on reste assez partagé et emmerdé pour trancher... |
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