| | | par Francois Branchon le 04/02/2001
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| Inspiré par le père du bluegrass Bill Monroe, le sorcier mandoliniste Andy Statman ne compte rien moins dans son groupe que Vassar Clements, le meilleur violoniste country des Usa et Tony Trishka, l'autre virtuose de la mandoline. Un album plein d'une délicatesse et d'une sensibilité qui laissent habilement masqué le savoir-faire évident. Statman ne se laisse jamais corseter par le genre, s'autorisant au contraire des nuances inattendues, par exemple grecques ("Land epic waltz", "The open sea"). |
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