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par Francois Branchon le 04/02/2001
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La pente la plus facile et la plus indigeste qui guettait Stivell et qu'il ne s'est pas privé de choisir : l'adaptation de ses morceaux instrumentaux à la mode mystico méditative d'outre-Atlantique, "new age" pour faire court. Ennuyeux et creux. |